A défaut de relève dans son propre camp, faute de pouvoir imposer son fils Philippe Robert ou son DGS Doris Carassou comme il en a longtemps été question, et pour pouvoir ménager les susceptibilités de l’un et de l’autre, le maire actuel, en sursis pour quelques mois encore, se présente contraint et forcé devant les électeurs.
Ces derniers n’oublieront pas toutes les compromissions auxquelles s’est livré Roland Robert , avec les uns et les autres , sans éthique personnelle, pour pouvoir asseoir son pouvoir et souvent évincer nombre d’entre eux, une fois élu. Non seulement, il a divisé pour mieux régner mais il a fait le vide autour de lui.
Ils auront aussi en mémoire les nombreuses affaires judiciaires dans lesquelles son nom a été cité et qui ont porté atteinte à la crédibilité de la gestion de la commune. De fait, Roland Robert n’en a cure : ce sont les Possessionnais qui à travers leurs impôts règlent ses frais de justice et les honoraires d’avocats.
Roland Robert ne doit lui-même pas savoir à qui dorénavant il peut faire confiance dans son équipe : les défections sont nombreuses et les dissidences se dévoilent au grand jour surtout ces derniers mois.
Le personnel communal attend aussi avec impatience le changement malgré et saura se faire entendre dans le secret de l’isoloir.
Devant cette déliquescence du pouvoir et cette atmosphère délétère de fin de règne, les électeurs de la Possession lui ont déjà adressé lors des cantonales de 2011 un sérieux avertissement en soutenant massivement le renouveau en la personne de Vanessa Miranville. Depuis, cette dernière à la tête d’une équipe jeune, motivée et dynamique a rencontré chaque semaine les habitants de tous les quartiers à travers de nombreux porte à porte.
La population adhère avec enthousiasme au projet présenté par Vanessa Miranville et son équipe PES de vouloir faire de la Possession un exemple de ville à développement durable qui intègrera une gestion saine et transparente des deniers publics tout le contraire assurément « des années Robert ».
Ces derniers n’oublieront pas toutes les compromissions auxquelles s’est livré Roland Robert , avec les uns et les autres , sans éthique personnelle, pour pouvoir asseoir son pouvoir et souvent évincer nombre d’entre eux, une fois élu. Non seulement, il a divisé pour mieux régner mais il a fait le vide autour de lui.
Ils auront aussi en mémoire les nombreuses affaires judiciaires dans lesquelles son nom a été cité et qui ont porté atteinte à la crédibilité de la gestion de la commune. De fait, Roland Robert n’en a cure : ce sont les Possessionnais qui à travers leurs impôts règlent ses frais de justice et les honoraires d’avocats.
Roland Robert ne doit lui-même pas savoir à qui dorénavant il peut faire confiance dans son équipe : les défections sont nombreuses et les dissidences se dévoilent au grand jour surtout ces derniers mois.
Le personnel communal attend aussi avec impatience le changement malgré et saura se faire entendre dans le secret de l’isoloir.
Devant cette déliquescence du pouvoir et cette atmosphère délétère de fin de règne, les électeurs de la Possession lui ont déjà adressé lors des cantonales de 2011 un sérieux avertissement en soutenant massivement le renouveau en la personne de Vanessa Miranville. Depuis, cette dernière à la tête d’une équipe jeune, motivée et dynamique a rencontré chaque semaine les habitants de tous les quartiers à travers de nombreux porte à porte.
La population adhère avec enthousiasme au projet présenté par Vanessa Miranville et son équipe PES de vouloir faire de la Possession un exemple de ville à développement durable qui intègrera une gestion saine et transparente des deniers publics tout le contraire assurément « des années Robert ».